
« Les hommes ont décidé de garder leurs filles et leurs sœurs – avec qui ils ne copulent plus – comme monnaie d’échange. Ensuite, ils les échangent contre les filles et les sœurs des hommes d’autres groupes. Les hommes deviennent ainsi « beaux-frères ». Entre beaux-frères, il peut y avoir de l’agressivité, mais aussi de l’entraide. On répartit les pouvoirs de fécondité entre les groupes. On reconnaît l’autre, l’étranger, et en plus, on établit un lien avec lui. »
La plus belle histoire des femmes, entretiens avec Françoise Héritier, Michelle Perrot Sylviane Agacinski par Nicole Bacharan, Seuil, 2011, pages 22 – 23
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