
« C’est parce qu’elle est dans l’immense Sibérie avant 1850 que Lise Cristiani, parlant des vingt mille kilomètres accomplis, peut dire : "J’ai fait tout ce chemin en brichka, en traîneau, en charrette, en litière, tantôt traînée par des chevaux, tantôt par des rennes, tantôt par des chiens, quelque fois à pied et le plus souvent à cheval. »
Françoise Lapeyre, Le roman des voyageuses françaises (1800 – 1900), Editions Payot et Rivage, 2007, Petite bibliothèque Payot, page 247
Au moins, c'est clair, on sait qu'elle n'est pas arrivée à pieds par la Chine.
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